Nouveauté

MON AMI ROBOT - ROBOT DREAMS

Dog vit à Manhattan. Un jour, pour échapper à la solitude, il décide de commander un robot. Ils deviennent alors les meilleurs amis du monde ! Inséparables, ils profitent des joies de New York et décident par une belle journée d’été d'aller à la plage. Mais après la joie de la baignade, Robot est tout rouillé et complètement paralysé ! Dog ne sait pas quoi faire et doit se résoudre à l'abandonner. Alors que les saisons passent, Dog essaie de trouver de nouveaux amis, tandis que Robot n'a d'autre choix que de rêver. Une histoire sur l’amitié, son importance, et sa fragilité.

BANEL ET ADAMA

Banel aime Adama et Adama aime Banel. Les amoureux aspirent à vivre libres dans leur propre maison à l’écart du village et à l’encontre des traditions. Hélas, la sécheresse menace. Sélectionné en compétition à Cannes, le premier long-métrage de Ramata-Toulaye Sy est un conte romantique aux accents mythologiques. Poétique, le film brille de mille feux sous un soleil de plomb.

Lost Country

Serbie, 1996, dans le feu des manifestations étudiantes contre le régime de Milošević. Partagé entre ses convictions et l’amour qu’il porte à sa mère, porte-parole du gouvernement, Stefan, 15 ans, mène sa propre révolution…

Attention, grand film ! Dans son second film de long métrage, le réalisateur serbe Vladimir Perišić dresse le portrait d'une nation ravagée, via le parcours initiatique d'un adolescent déchiré. Bouleversant !

Dès le 15 novembre 2023, aux Cinémas du Grütli

L'ÎLE ROUGE

"Mon père était sous-officier dans l’Armée de l'Air française. Mes parents, mes frères et moi sommes tous nés au Maroc et avons vécu en Algérie par la suite. Notre dernière destination a été la base militaire 181 d'Ivato à Madagascar. Mon enfance aura été en quelque sorte conditionnée par les considérations géo-stratégiques de la France. Une fois rentré en France, encore enfant, je gardais une véritable nostalgie de Madagascar.

LITTLE GIRL BLUE

"Ma mère, Carole Achache, s’est suicidée  le 1er mars 2016, sans laisser de mot. Dans sa cave, elle avait stocké 25 caisses en plastique contenant des milliers de lettres et de photos, des correspondances triées, des carnets, des agendas annotés : les archives colossales d’une famille sur laquelle elle avait déjà enquêté lors de l’écriture d’un livre sur sa propre mère…qui avait elle-même écrit sur sa propre mère. Ce passé répétitif pesait sur moi. Ces caisses étaient là, offertes comme par dessein. J’en devinais le potentiel fascinant, mais j’en connaissais surtout le mortifère.

LA FAMILLE ASADA

La Famille Asadaest inspiré d’une histoire vraie : celle du photographe japonais Masashi Asada. Plus exactement, il est inspiré de deux livres de photographies dont les thèmes respectifs pourraient être ainsi résumés : la nature des liens qui tissent une famille, et le pouvoir inégalé de la photographie.

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