Rétrospective

Hommage à Laurent Achard (1964-2024)

Hommage au réalisateur Laurent Achard (1964 - 2024) :

SAMEDI 4 MAI 

> 14H00 : Programme de courts-métrages : DIMANCHE OU LES FANTÔMES (1993) + UNE ODEUR DE GERANIUM (1997)
> 15H30 : PLUS QU'HIER, MOINS QUE DEMAIN (1998)
> 19H00 : LA PEUR, PETIT CHASSEUR (2004) + LE DERNIER DES FOUS (2006)
> 22H00 : DERNIERE SEANCE (2011)

DIMANCHE 5 MAI

Rétrospective Radu Jude

Rétrospective du cinéaste roumain Radu Jude à l'occasion de la sortie de N'ATTENDEZ PAS TROP DE LA FIN DU MONDE !

Radu Jude, humour à mort par Frédéric Maire, La Cinémathèque suisse

Rétrospective Andreï Tarkovski

TARKOVSKI AUJOURD’HUI ?
 

« Quand je découvris les films d’Andreï Tarkovski, ce fut pour moi un miracle. Je me trouvais, soudain, devant la porte dont jusqu’alors la clé me manquait. Une chambre où j’avais toujours voulu pénétrer et où lui-même se sentait parfaitement à l’aise.” 
-Ingmar Bergman

Rétrospective Dominique Marchais en présence du cinéaste !

Rétrospective en quatre films du réalisateur Dominique Marchais en sa présence - dimanche 24 mars > mardi 26 mars :

> LE TEMPS DES GRÂCES (2010) - dimanche 24 mars à 17H00 en présence du réalisateur Dominique Marchais.

> LA LIGNE DE PARTAGE DES EAUX (2014) - lundi 25 mars à 19H00.

> NUL HOMME N'EST UNE ÎLE (2018) - mardi 26 mars à 17H30.

> Avant-première de LA RIVIERE (2024) - mardi 26 mars à 20H00 en présence du réalisateur Dominique Marchais.

WILLIAM FRIEDKIN

« Maître? Père? Oui. Les films proposés ici remettent  William Friedkin au milieu du village. Et pas n’importe lequel : celui, bâti aux Etats-Unis dans les années 1970, qui continue de plonger les cinéphiles dans un abîme de nostalgie. Sur la grande place, Spielberg, Scorsese, Coppola, voire George Lucas ont leurs statues et leurs fidèles.

YASUJIRO OZU

Avec Naruse, Kurosawa et Mizoguchi, que nous avons déjà célébrés, Yasujiro Ozu est l'un des grands du cinéma japonais. Et c’est peut être le plus étonnant des quatre...

D'abord inspirés par le cinéma américain puis, après guerre, de plus en plus épurés, ses films cadrés "à hauteur de tatami", dit un critique américain, ont fasciné Wim Wenders par la douceur désabusée de leur propos, et le sens incomparable de l’espace et de l'humanité dont ils faisaient preuve.

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