Ulrich Seidl, réalisateur autrichien, a travaillé, ces dernières années, à une trilogie ironiquement intitulée Paradis. Paradis: Amour, Paradis: foi, Paradis: espoir
Le premier « panneau », Paradis : Amour, évoque le voyage au Kenya d’une cinquantenaire blanche, trouvant le réconfort entre les bras d’un « Sugar Mama », un prostitué rencontré sur la plage.