Ce Canadien né en mars 1943, est entré dans le cinéma à la fin des années 60 par le biais de l’avant garde. En 1975, il change de style, réalise Shivers (Frissons) et devient immédiatement un cinéaste culte pour les amateurs du cinéma fantastique et d’horreur. Ses films suivants vont renforcer sa réputation et rencontrer un large public. Le sommet est atteint en 1983 avec Dead Zone, adaptation d’un roman de Stephen King.

En présence de Stéphane Gobbo, Délégué général de la Semaine de la critique Locarno. Cette section indépendante du Festival, qui propose chaque année un programme de sept documentaires de création, est invitée pour présenter deux films de sa sélection 2015.

Tout d'abord My Name Is Gary, des Français Blandine Huk et Frédéric Cousseau, ou le portrait impressioniste d'une ville américaine connue pour avoir été la première à élire un maire noir, non sans heurts.

A l'initiative du SEM Formation (Service Ecoles-Médias, DIP) et des cinémas du Grütli, ZERO DE CONDUITE propose aux enseignant-e-s de tous degrés, des projections de films traitant de l'éducation sous tous les aspects. Le choix portera sur des films aux qualités formelles avérées et susceptibles de nourrir une réflexion accrue. A cet effet, des discussions suivront chaque projection, en présence de l'auteur et/ou d'intervenants pouvant apporter un éclairage sensible sur le propos du film.

La 17ème cuvée du Festival Black Movie, brassée avec amour, promet d’être 100% dépaysante. Son cocktail fortifiant de films savoureux convoque tous les genres (documentaire, fiction, animation) en provenance d’Asie, d’Afrique, d’Amérique latine, soit une cinquantaine de longs métrages parmi lesquels on retrouve les fidèles du festival: Apichatpong Weerasethakul, Tsai Ming-liang, Hong Sang-soo...

A Hollywood, Robert Wise fit tous les jobs du cinéma avant de devenir d’abord monteur (La splendeur des Ambersons de Welles), puis de tâter comme réalisateur de tous les genres, du film noir (Nous avons gagné ce soir) au film d’horreur (La Maison du diable), du western (Les Rebelles de Fort Thorn) à la SF (Le jour où la terre s’arrêta) ou à la comédie musicale (West Side Story).

Rohmer fut l’un des critiques les plus brillants et les plus contestables des Cahiers du cinéma, puis l’un de ces jeunes turcs (avec Godard, Truffaut, Rivette) qui passèrent derrière la caméra dans les années 50, grossissant la dite Nouvelle Vague.