Comme chaque année, la Fête de la musique passe par les Cinémas du Grütli. Cinq films pour prouver, s’il le fallait encore, que musique et cinéma forment un couple fécond.
«Une reine. On dira "l’époque de Signoret’’ pour parler de celle qui part des années 50 jusqu’à nos jours. Le plus grand ambassadeur français du XXe siècle. Elle a sorti la France de ses gonds, elle l’a fait internationale. Elle a crié les droits de l’homme partout. Impossible de remplacer Signoret.», écrivait Marguerite Duras dans le Quotidien de Paris, le 1er octobre 1985. Au lendemain de la mort de Simone Signoret. Elle avait 64 ans. Comédienne, écrivain, Simone Signoret a été une reine, en effet, sur tous les fronts.
Chaque rendez-vous de ce ciné-club, proposé en collaboration avec la Cinémathèque suisse, la revue romande Tracés, la Maison de l'Architecture et le collectif Silo, est une invitation à regarder le cinéma et l'architecture différemment.
Film d’ouverture au Festival de Cannes 2015 et primé deux fois aux Césars 2016. Ce film retrace le parcours de Malony, de six à dix-huit ans, qu’une juge des enfants et un éducateur tentent inlassablement de sauver.
Witold a raté ses examens de droit et Fuchs vient de quitter son emploi dans une société de mode parisienne. Ils vont passer quelques jours dans une pension dite de famille où les accueille une série de présages inquiétants : un moineau pendu dans la forêt, puis un bout de bois dans le même état et enfin des signes au plafond et dans le jardin. Dans cette pension il y a aussi une bouche torve, celle de la servante, et une bouche parfaite, celle de la jeune femme de la maison dont Witold tombe éperdument amoureux.
Ce ciné-club propose des films en relation avec le judaïsme ou Israël, dont la plupart n’ont jamais été montrés à Genève : des pépites à découvrir sans faute, à un rythme bimestriel.
Une histoire de fou de Robert Guédiguian (France - 2015 - 134')