Jack, 19 ans, Lisa, 17 ans, et Mathis, 10 ans, se retrouvent brutalement orphelins. Chacun réagit à sa façon à la catastrophe familiale.
Lisa prend ses distances, Jack, tout juste majeur, se voit confier la garde de Mathis. Une nouvelle vie commence. Mais comment être responsable d’un enfant quand on est soi-même à peine sorti de l’adolescence ? Et comment se construire un avenir quand le passé devient une obsession dangereuse ?
La force et l’énergie de la jeunesse peuvent faire des miracles…

En collaboration avec la Cinémathèque suisse, les Cinémas du Grütli sont fiers d'accueillir la comédienne Jessica Cressy, pour une avant-première de Martin Eden de Pietro Marcello, à l'affiche tous les jours dès le 2 septembre. 

Le mercredi 2 septembre à 19h, la projection de Martin Eden sera présentée par la comédienne et suivie d'une discussion avec le public. 

Filmé dans un noir et blanc superbe, The Painted Bird, du Tchèque Václav Marhoul, raconte le parcours d’un jeune garçon, dont on ignore le nom, à travers l’Europe de l’Est pendant la Seconde Guerre mondiale. Il sera témoin et victime de tout ce que la guerre engendre comme violences... Adapté du célèbre livre éponyme de l’écrivain américain d’origine juive polonaise Jerzy Kosinski, le film a secoué la Mostra de Venise en 2019. Une véritable gifle… à recevoir aux Cinémas du Grütli. 

En écho avec la pièce Généalogie Léger mise en scène par Manon Krüttli et Céline Nidegger au Grütli – Centre de production et de diffusion des Arts vivants, du 7 au 11 septembre, les Cinémas du Grütli vous proposent une soirée pour voir ou revoir le film mythique de Barbara Loden, Wanda (1973). Un film qui évoque l'errance et le mystère d'une femme oubliée.  

Le samedi 19 septembre à 18h00 et 21h00, les Cinémas du Grütli, en collaboration avec l'Association d’utilité publique en faveur des personnes trans ÉPICÈNE, sont fiers de présenter deux séances uniques du film Lola vers la mer, un récit bouleversant sur la transidentité. Les deux séances seront présentées par le réalisateur Laurent Micheli et l'actrice Mya Bollaers, une véritable révélation. 

Utiliser l’abstraction dans le cinéma de fiction n’est pas facile, mais Klaudia Reynicke réussit pleinement l’exercice avec un film qui est à la fois un manifeste et un nouveau point de départ. Grâce à l’extraordinaire performance corporelle de son actrice, la réalisatrice met en scène le rejet de toute forme de patriarcat, en jouant avec les stéréotypes masculins et en démasquant leurs fragilités. Surprenante et courageuse, comme la libération de son personnage. (Daniela Persico, Festival de Locarno).