Séance spéciale

Séance spéciale de MI PAIS IMAGINARIO

« Octobre 2019, une révolution inattendue, une explosion sociale. Un million et demi de personnes ont manifesté dans les rues de Santiago pour plus de démocratie, une vie plus digne, une meilleure éducation, un meilleur système de santé et une nouvelle Constitution. Le Chili avait retrouvé sa mémoire… L’événement que j’attendais depuis mes luttes étudiantes de 1973 se concrétisait enfin.» Caméra au poing, Patrizio Guzman retrouve son Chili.  Présenté au Festival de Cannes 2022, le film analyse méthodiquement le

Regards croisés

Tout au long de la saison, POCHE /GVE et les Cinémas du Grütli ont le plaisir de proposer des correspondances entre théâtre et cinéma ; adaptation de pièces à l’écran, résonances diverses, nous proposons de croiser les disciplines pour mieux circuler d’une pratique à une autre!

Regards croisés entre théâtre et cinéma

Tout au long de la saison, POCHE /GVE et les Cinémas du Grütli ont le plaisir de proposer des correspondances entre théâtre et cinéma ; adaptation de pièces à l’écran, résonances diverses, nous proposons de croiser les disciplines pour mieux circuler d’une pratique à une autre!

Pour cette séance du vendredi 21 octobre à 20h00, nous vous proposons un regard croisé sur la thématique : L'ADOLESCENCE

Coup 53, Prix de la Fondation Mossadegh

Etablie à Carouge, la Fondation Mossadegh a été inaugurée en 2000. Son but est de rendre accessible une connaissance approfondie de l'Iran, au travers de sa culture, son histoire, ses religions et sa situation géopolitique. Pour cela, et parallèlement aux diverses conférences, la bibliothèque de la Fondation offre un nombre important d’ouvrages à la curiosité des visiteurs. Périodiquement, elle décerne le Prix Lauréat Massadegh à une personnalité du monde des arts qui contribue à la diffusion de la culture iranienne.

2 soirées avec Pauline Julier et ses films

Les films de Pauline Julier sont une façon de déconstruire la contemplation pour la remplacer par des suites d’interrogations. Ce n’est pas qu’il ne faut plus filmer la Nature, refuser de la contempler, mais l’urgence est ailleurs : il faut réapprendre à la regarder. Peut-être par en-dessous, pour y voir au travail les forces souterraines qui mettent en tension son existence même : la contemplation ne peut plus être un recours, une façon de se secourir du monde, une issue, un point de fuite, tant le monde industriel impose à cette même Nature une pression devenue intenable.

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