À New York, au milieu des années 1970, Jean-Michel Basquiat, fils d’un Haïtien et d’une Porto-Ricaine, mène l’existence tumultueuse d’un artiste en herbe, en proie aux démons de la drogue et du racisme. Pendant quelque temps, il hésite entre la musique (il a fondé un petit orchestre d’avant-garde, “Gray”) et le dessin (il couvre les murs de graffitis signés “Samo”). Un jour, Andy Warhol, pape de l’underground, lui achète plusieurs croquis et l’encourage à continuer dans cette voie.