
Projection De Nowhere De Pascal Greco
NOWHERE C’EST UN PEU ICI, MAIS SURTOUT AILLEURS.
Deuxième volet d’un triptyque, le nouveau film de Pascal Greco nous invite à la rêverie, au voyage, à l’introspection. Il parvient à mettre en image un lieu fantasmé où se croiseraient des mégapoles asiatiques sans âme, des confins islandais poignants, des feux d’artifices luminescents. On se retrouve projeté dans un espace-temps onirique.
A mi-chemin entre l’oeuvre d’art et le documentaire, Nowhere c’est une histoire sans parole où la musique donne le ton. L’univers sonore, composé par Goodbye Ivan, vient souligner et amplifier les sensations visuelles. Une forme de sublimation de l’image par la musique. Où chaque mouvement de caméra, chaque plan, est soutenu par une note ou un rythme, et plonge ainsi le spectateur dans un mélange de délicatesse, de plénitude et de nostalgie. Une histoire pleine d’imprévus et d’impressions.
28 mai à 19h15 et 21h: Projections exceptionnelles avec 4 musiciens qui joueront la BO en live (Tarif projection en live Frs 10.--)
Pour fêter la sortie du coffret Blu-ray & CD du film, un verre sera gracieusement offert par les Cinémas du Grütli (avant et après la projection)
"Nowhere, un magnifique essai cinématographique, un voyage contemplatif inoubliable. Dans ce voyage que l'on peut comparer à un rêve éveillé, les images font monter toute une palette d'émotions et de souvenirs que le vécu de chacun enrichira à chaque vision. Notre avis : 9/10."
Daily Movies
"Un poème visuel envoûtant sur une musique puissante et délicate."
Edelweiss
"Rapidement, le mot osmose devient trop faible pour décrire le mélange d'image et de son. Parlons de symbiose ou même d'oxymore. Nowhere se conçoit comme une succession de paradoxes résolus. La réflexion ne boude rien à l'instinctif, l'imprévu n'empêche pas le prévisible. Le rêve se conjugue à l'action."
Go Out
"Magnifiquement porté par la musique de Goodbye Ivan, Nowhere possède un irrésistible pouvoir d'attraction, ce film est envoûtant et hypnotique. Après Super 8 réalisé en 2008, Pascal Greco confirme, avec ce second projet autoproduit présenté comme le deuxième volet d'un triptyque, qu'il possède un vrai regard de cinéaste."
L'Hebdo