Lettres d'amour

Le dialogue est brillant, la caméra se penche avec grâce sur les marionnettes du temps jadis mais, derrière le parfum d’opérette, monte une odeur plus forte : celle de la critique sociale. Avec ce film, Autant-Lara introduit le thème de la lutte des classes, que l’on retrouve l’année suivante dans son film phare, Douce.

Jacques Siclier