Je suis le peuple

Chronique désabusée

Tandis que le peuple égyptien se soulève place Tahrir, au fin fond de sa province de Louxor Farraj suit la révolution depuis son poste de télévision vétuste. Mais de Moubarak à Morsi, plus ça change et plus c'est la même chose…

« J'ignore l'impossible, je ne préfère rien à l'éternité, mon pays est ouvert comme le ciel, il embrasse l'ami et efface l'intrus. » Extrait de la chanson d'Oum Kalthoum qui donne son titre au film.